mercredi 26 mars 2008

La Roque d'Aubais mars 2008




La Roque d'Aubais


Le Vidourle, qui prend sa source au pied de St. Roman de Codières, se développe jusqu'à la mer sur un parcours de 85 kilomètres. Après avoir traversé Sommières et Boisseron , il dessine une courbe à proximité de St. Sériès pour trouver une issue par le défilé de la Roque d'Aubais. Etonnante faille entre deux rochers dont les falaises atteignent 75 mètres de haut. Cette situation géologique curieuse a développé chez certains historiens la légende de gigantesques travaux entrepris par les Romains et engagés par Gallus (qui a donné son nom à Gallargues) lieutenant de César, ceci afin de dégager des terres cultivables. Mais cet effondrement géologique est sans conteste bien plus ancien et totalement naturel.

Les mystérieuses cités de pierre 16 mars 2008



Les carrières de Junas





La pierre de Junas est un calcaire détritique formé lors de l'ère tertiaire (série: Miocène - Etage: Burdigalien) soit il y a environ 20 millions d'années. Sa formation est contemporaine à la dernière phase de surrection des Alpes, qui a lentement permis l'émersion de la région, jusque là zone lagunaire (eau salé).
Toutes les carrières sont mentionnées dans les archives récente (XIXème et XXème siècle) mais sont entourées d'un désolant silence pour les périodes antérieures. Vide de textes d'autant plus consternant que l'on sait nos carrières au moins d'origine romaine, qu'elles ont fourni des matériaux pour les remparts d'Aigues-Mortes, qu'elles ont alimenté durablement la ville de Sommières en pierre de construction. Un important travail de recensement des constructions en pierre de Junas dans la région reste à faire.
Aujourd'hui le site "Les carrières du Bon Temps" accueillent les Rencontres de la Pierre et les festivals de Country/Rock ou Jazz qui y trouvent un lieu à l'acoustique sans pareil.

Montcalm 9 mars 2008







vendredi 21 mars 2008

Le PNR des Monts d'Ardèche (16-17 février 2008)















LES VANS

170 mètres d’altitude. 2708 habitants.

Chef-lieu de canton. Eglise de style Contre-Réforme avec retable classé. Nombreuses places avec fontaines. Musées consacrés à la géologie et l’archéologie ainsi qu’au professeur Léopold OLLIER, père de la chirurgie orthopédique. Lavoir. Moulin à huile.

La vallée du Chassuzac














Les Vans, tout le charme d’un village méridional à l’accent cévenol. Bâti à la croisée des chemins, Les Vans offre un subtil mélange de Cévennes et de garrigues, ce qui lui confère ce caractère si particulier. Tout au long de l’année, on peut flâner dans les ruelles baignées par le soleil et émaillées de boutiques colorées. La visite du vieux quartier permet de découvrir le lavoir, l’église érigée au XVII, l’espace muséal ou bien vous laissez séduire par les places rafraîchies de fontaines (place du marché, place de l’Oie) ou bien vous arrêtez à la terrasse d’un café, à l’ombre de la place Ollier. Marché nocturne...

CHAMBONAS


Ce bourg conserve de nombreuses traces du passé à découvrir .On y accède par un pont médiéval (XIIème) dont les maîtres d'œuvres furent certainement les moines de l'abbaye de Saint Gilles (Gard). L'église (XIIIème) est d'une richesse iconographique remarquable (modillons). Elle est blottie contre le château, célèbre pour ses jardins à la française déssinés par les élèves de Le Nôtre (Vaux le Vicomte). L'aspect architectural de l'édifice (linteaux de voûte finement sculptés,fenêtres à meneaux),les placettes, les ruelles étroites et sinueuses donnent du caractère à ce lieu intelligemment préservé.


SAINT PIERRE LE DECHAUSSELAT


Village perché sur les premiers contreforts de la montagne. On y découvre des maisons paysannes du XIVème siècle en moellons de grès soigneusement appareillés qui donnent une couleur chaude au paysage. L'église se situe au bout du village, au sommet de la montagne. Depuis le parvis de l'église en grès rose, nous avons une vue splendide sur la vallée de la Sure.

Le bois de Païolive











Ici, il y a 150 millions d’années, la mer recouvrait toute la région, c’est à cette époque que s’est formé le massif calcaire de Païolive, par sédimentation (plus ancien que celui de l’Ardèche). Le Chassezac y a creuzé ses Gorges. Durant plusieurs millions d’années, la pluie, chargée de gaz carbonique va dissoudre la roche calcaire, créant ainsi des formes étranges, des grottes et des failles. L’érosion due à la neige et la glace a produit des rainures, des cannelures et des vasques, avec le temps, elles sont devenues des failles profondes de plusieurs mètres. Les variations du climat subies durant ces millions d'années a crée des reliefs ruiniformes appelés lapiaz géant.

La végétation est très diversifiée. Le bois est constitué de garrigues et de forêts. On trouve, entre autre, dans la garrigue du Bois de Païolive, du buis, des genets, du jasmin, du genevrier, de la lavande et du thym. Des chênes pubescents, des chênes verts, des châtaigniers, des pins, des tilleuls, des sorbiers, composent en partie les forêts. En bordure de rivière, on peut trouver de l’ambroisie, de l’hélianthe, du raisin, ou encore de la balsamine.

Le Bois de Païolive abrite également un grand nombres d’espèces animales : des sangliers, des chevreuils, des renards, des blaireaux, des fouines, des belettes, des musaraignes, des hérissons, des taupes, des castors, des campagnols, des mulots, des écureuils, des rats, des lapins, des lièvres, des chauves souris… et bien d’autres encore. On y compte également un grand nombre d’oiseaux, d’hamphibiens et de reptiles.

Le Bois de Païolive est occupé par l’homme depuis la préhistoire. Il aurait même servit de cachette aux protestants et aux bandits qui étaient pourchassés par les « Dragons » . Au sein de ces bois, on retrouve l’Hermitage de Saint Eugène qui date d’avant le Xème siècle. A partir de la Révolution, il tombera peu à peu dans l’oubli. A partir de 1994, il sera finalement reconstruit.
Vous pourrez entrer dans ce bois à l’atmosphère surréaliste, presque magique, grace à l’un des 3 sentiers balisés. Vous y rencontrerez l’Ours et le Lion, les Trois Juges, les Trois Seigneurs, l’Elephant, le Singe, ou encore les Fantômes… Vous pourrez voir le Labyrinthe ou encore la Grotte de la Vierge. Vous rencontrerez tous ces êtres venus d’un autre monde que le temps a transformé en rochers.

Le Bois de Païolive se situe entre Les Vans et Casteljau.



SAINTE MARGUERITE LAFIGERE et la vallée de La Borne







337 mètres d’altitude. 183 habitants.
Il s'agit du village cévenol par excellence, construit près du confluent du Chassezac et de la Borne.
Au milieu de la vallée profonde et sauvage du Haut-Chassezac, la chapelle de la Madeleine du XII° siècle invite à la recherche du temps perdu. Chapelle (12ème siècle) dédiée à Ste Madeleine. Paysage de terrasses. Béals (canaux d’irrigation).

Le site troglodytique du Barri (y) 2 février 2008 (Partie I)






Présentation générale

Cet extraordinaire village troglodytique est accroché au flan d'une colline. Il a vécu une occupation quasi permanente dès la préhistoire jusqu'au début du XXè siècle.





Sur les hauteurs de la colline on peut ballader dans l'Oppidum romain dont il ne reste que peu de choses; le chemin qui y mène était autrefois appelé le champs des médailles car il était parsemé de médailles et autres pièces de monnaie des époques pré-impériale romaine, impériale et médiévale.Sur le chemin de Barry se trouve le village médiéval surmonté du château situé au sommet d'une butte.










Sur trois côtés, le village et le château sont limités et fermés par des falaises; la partie restante est fermée par un rempart maçonné. Curieusement, les meurtrières du rempart ainsi que sa tour de guêt sont dirigées vers le château et non vers l'extérieur; on peut donc supposer que le village et le château appartenaient à des seigneurs différents!




En vous promenant un peu plus loin dans la colline, vous découvrirez peut-être une (ou plusieurs) borne sur laquelle on note une armoirie: elle date du XVè siècle et avait été posée pour délimiter le Comtat Venaissin du Dauphiné. A l'heure actuelle, ces bornes servent encore à délimiter le Vaucluse de la Drôme, mais aussi la région Provence-Alpes-Côte d'Azur de la région Rhône-Alpes.










Le village troglodytique proprement dit se trouve en contre-bas des habitations médiévales.On ne sait pas exactement de quand datent les premières "constructions" taillées dans la roche, à l'abri du mistral. L'habitat y était sommaire mais aussi dangereux, à cause de la friabilité de la roche. C'est ainsi que dès le début du XIXè siècle, le village du Barry commence à être abandonné par ses habitants pour l'être totalement au début du XXè siècle.Vous trouverez à l'Office du Tourisme de Bollène un plan du site avec plusieurs circuits de découverte et de promenade dans la colline.

jeudi 20 mars 2008

Escapade en Sabranenque (partie II) janvier 2008









SAINT-VICTOR LA COSTE



Le Castellas




Un premier édifice est construit entre le Xe et le XIe siècle par les seigneurs de Sabran, connétables du comte de Toulouse. Après avoir pris le parti des Albigeois, Rostaing de Sabran en signe d'allégeance au roi de France laisse démanteler son château et ses fortifications sur ordre du sénéchal de Beaucaireen 1248, en gage de fidelité. La demeure est reconstruite à la fin du XIIIe siècle et devient la propriété de la famille de Montlaur puis de celle de Poitiers. La seigneurie est vendue en début du XVIe siècleaux Nicolaï de Bourg-Saint-Andéol qui cèdent leurs niens en 1541 à Thomas Gadagne, banquier d'origine florentine.


Durant les guerres de religions, Montmorency, gouverneur du Languedoc, installe une garnison dans le château, marquant ainsi sa dernière utilisation comme place forte militaire.
Du château primitif ne demeure qu'une chapelle à nef unique et chevet plat (XIIe siècle). Ce petit édifice est surhaussé par la suite d'un étage faisant office de tour de guet. L'enceinte polygonale rétablie au XIIIe siècleest dépourvue de tours. Les logis s'adossent à la muraille qui domine le village. Les restes de fenêtres et de deuxescaliers permettent de dater ces appartements de la fin du XVe siècle. Entre le château et l'ancienne église de Sainte-Madeleine,un vaste espace pouvait servir d'enclos-refuge en cas de menaces extérieures.




Chapelle de Saint-Martin


Elle a été édifiée vers 1050. C'est en ce lieu que se tenait le marché régionaltransféré à Bagnols-sur-Cèze. En 1223 par l'ordre du roi Louis VIII qui aussi démolirle château construit au Xe siècle appartenant au comte Rostand de Sabran et dominant le village de Saint-Victor Lacoste lequel s'appelait autrefois Ad Victorium Sanctorum puis Serre Lacoste en 1793 etSaint-Victor La Coste après le 17 prairial de l'An XIII.

mercredi 19 mars 2008

Escapade en Sabranenque (Partie I) Janvier 2008


Saint-Laurent-des-Arbres


Saint-Laurent-des-Arbres est un village médiéval situé sur la rive droite du Rhône au milieu des vignes, avec son cru des Côtes du Rhône et l'Appellation Lirac, au contact de la Provence et du Languedoc. Son donjon rectangulaire et son église fortifiée lui donnent une allure de forteresse.



Les traces d'occupation humaine sont très anciennes (Clary, site occupé depuis le néolithique jusqu'à l'époque romaine).


Mais c'est au Moyen-Age qu' "Arbor" (Arbres) fut l'objet de nombreuses transactions. Le village appartenait à l'évêque Foulques (919). Puis au XIIe siècle, deux grandes familles se partageaient le territoire de St-Laurent-les-Arbres : les seigneurs de Lers et Montfrin ( partie ouest avec Notre-Dame de Thézan) et les Sabran. Au début du XIIIe siècle, les seigneurs de St-Laurent sont Guillaume de Sabran, puis son fils Rostaing de Sabran. Ils officient à la cour des comtes de Toulouse où ils occupent les importantes fonctions de connétables. Les évêques d'Avignon n'étaient propriétaires que des églises de St-Laurent et de Lirac, mais avaient des droits de suzeraineté sur l'ensemble de ces territoires et, à ce titre, les seigneurs locaux étaient tenus de leur rendre l'hommage. En 1202, Rostaing de Sabran fait ainsi hommage à Rostaing, évêque d'Avignon en ces termes : "Moi, Rostaing de Sabran, je déclare à vous, Rostaing, évêque d'Avignon, et je reconnais que mon père et mes prédécesseurs ont eu et tenu en fief, au nom de l'église d'Avignon, et que moi-même pareillement je possède et je tiens en fief , au nom de l'église d'Avignon, le village de St-Laurent, le village de Lirac et celui de Seinnangues. Je reconnais que pour ce fief, mon père et mes prédécesseurs ont fait hommage à vos prédécesseurs, et de même que moi et mes successeurs , nous sommes tenus de faire hommage à vous et à vos successeurs, selon les termes qui suivent dans les reconnaissances de St-Laurent des Arbres"...







Ermitage Notre-Dame de Meyran



La chapelle et son ermitage sont situés sur l'emplacement d'une ancienne villa romaine. Le site médiéval est attesté depuis le IXe siècle et devient d'après les textes une possession de la puissante abbaye de Saint-Victor de Marseille. La chapelle construite durant le XIIe siècle adopte un plan en forme de croix latine. Le carré du transept est surmonté d'un clocheton couronné d'une statue de la vierge au XIXe siècle. La nef, charpentée à l'origine, reçoit plus tardivement voûte en berceau. Notre-Dame de Mayran est l'objet dès le XVIIe siècle d'un pèlerinage pour lutter contre les épidémies de peste mais aussi contre la sècheresse. Ce pèlerinage a toujours lieu le premier dimanche du mois de mai.

Ce jour là je me suis retrouvé au cœur de l'organisation d'une pastorale. Des décors étaient en place rappelant la crèche et la naissance du divin enfant.



mercredi 27 février 2008

Janvier 2008 : "Voyage en religion à Saint-Michel de Cuxa"





L'abbaye de Saint-Michel de Cuxa (on peut le voir orthographié Cuixà, du nom catalan Sant Miquel de Cuixà ; se prononce aussi Coucha) est un monastère bénédictin situé au pied du Canigou (2 784,66 mètres), sur la commune de Codalet à proximité de Prades dans les Pyrénées-Orientales.










L'architecture de l'abbaye Saint Michel de Cuxa est un des rares témoignages du passage de l'art préroman vers le roman, au tournant de l'an mil.



A l'origine, en 878, on trouve une fondation monastique à caractère familial. Celle-ci est choisie par la papauté pour asseoir son autorité en Catalogne, ce qui confère au monastère un grand rayonnement et favorise une intense activité culturelle vers la fin du Xe siècle. Le monastère fait alors partie d'une congrégation réunissant Lézat, Mas-Garnier, St Hilaire et Alet. L'église est consacrée en 974. D'autres éléments - crypte (avec sa colonne centrale), chapelle de la Trinité, clochers ( le clocher carré domine de ses 40 mètres de haut les vergers environnants - à l'origine, il existait un clocher jumeau qui encadrait la nef.) sont ajoutés au XIe siècle par l'abbé Oliba (1008-1035).






Le cloître, le plus grand des Pyrénées, est roman. Son tracé est quadrilatère irrégulier (37,8 m à l'ouest, 29,4 m au nord, 37,4 m à l'est, 27,2 m au sud). La galerie sud s'appuie sur le collatéral nord de l'église et la galerie orientale sur le croisillon nord du transept. Elles sont couvertes par une charpente en bois.







Cette période d'apogée ne dure pas et dès le XIIe siècle commence une lente phase de déclin. Au XVIe siècle, le passage du monastère sous le régime de la commende n'améliore pas une situation déjà très critique. Enfin, la révolution française porte le coup final avec l'expulsion du dernier moine en 1793. L'abbaye est alors dévastée.






Au cours du XIXe siècle un projet visant à construire un bassin pour alimenter une forge entraîne la destruction du cloître et des bâtiments conventuels. Finalement, le projet est abandonné (trop tard) et le lieu tombe progressivement en ruines.

A ce néfaste projet, il convient d'ajouter les effets dévastateurs d'antiquaires de la fin du XIXe, peu scrupuleux, qui ont dilapidé les chapiteaux du cloître (dont une bonne partie est exposée dans des musées américains, au Metropolitan Museum de New York et à Philadelphie en particulier). 36 des pièces manquantes se trouvent aux Etats-Unis. Deux sont au Louvre.

Le retour de la vie monastique et l'intervention d'architectes de talent (Puig i Cadalfach, en particulier) sauvent le monastère de la ruine totale. Les travaux ont été effectués de 1953 à 1970. L'église est alors rendue au culte et les chapiteaux restant dans la région regroupés à l'emplacement du cloître.

Pour savoir en savoir plus

Webographie

mardi 26 février 2008

Janvier 2008 : Le Parc Naturel Régional des Pyrénées catalanes- Mont Louis

Le PNR des Pyrénées catalanes s'étend sur un vaste territoire regroupant le Capcir, la Cerdagne et le Conflent vers 1600 m. d'altitude.

Mont-Louis


La guerre de Hollande (1673-1678) relance les hostilités entre la France et l’Espagne. La victoire française - avec la destruction de Puigcerdà - va permettre à Louis XIV d’asseoir son autorité sur la frontière catalane, en particulier en Cerdagne et Conflent, où la population ne s’est pas toujours ralliée aux Français. La paix aura aussi une conséquence considérable sur le système défensif roussillonnais, qui se métamorphose durant les années suivantes. Perpignan, Collioure, Fort des Bains, Bellegarde et Villefranche-de-Conflent sont améliorés. Enfin, Vauban construit en juin 1679 la citadelle de Mont-Louis.















Décembre 2007 : "Retour en Vaucluse dans la Cité papale (1309-1403)"


Avignon présente un paysage urbain grandiose : dominant la Cité et le Rhône, le Rocher des Doms offre un ensemble monumental exceptionnel constitué du Pont saint Bénezet, des Remparts, du Petit Palais, de la Cathédrale des Doms et des murailles impressionnantes flanquées des quatre tours gigantesques du Palais des Papes.Cet ensemble architectural unique est classé par l’UNESCO : « patrimoine mondial de l’humanité ».
Le Palais des Papes est le symbole du rayonnement de l’église sur l’Occident Chrétien au XIVème siècle.Edifié à partir de 1335, en moins de vingt années, il est l’œuvre principalement de deux papes bâtisseurs, Benoît XII et son successeur Clément VI.Le monument constitue le plus important palais gothique du monde, (15 000 m2 de plancher, soit en volume 4 cathédrales gothiques), et présente au visiteur plus de vingt lieux, théâtres d’événements au retentissement universel avec, notamment, les appartements privés du pape et leurs fabuleux décors de fresques exécutés par l’artiste italien Matteo Giovannetti.Le monument offre aussi au visiteur une animation culturelle régulière tout au long de l’année. Expositions thématiques et pédagogiques, visites à thèmes, concerts y sont organisé. Durant la saison estivale une grande exposition d’art occupe la Grande Chapelle, alors que les représentations du Festival d’Avignon, créé par Jean Vilar en 1947, se déroulent au mois de juillet dans la Cour d’Honneur du Palais.


Le Palais des Papes accueille plus de 650 000 visiteurs par an. Il fait partie des 10 monuments les plus visités en France.


Webographie :



Visite virtuelle www.palais-des-papes.com/pages/pdpvirtuelle.html




UNESCO:

Les pérégrinations d'Elassar



"Un voyageur est une espèce d'historien; son devoir est de raconter fidèlement ce qu'il a vu ou ce qu'il a entendu dire; il ne doit rien inventer, mais aussi il ne doit rien omettre."
(Chateaubriand)
"Le voyage est une espèce de porte par où l'on sort de la réalité comme pour pénétrer dans une réalité inexplorée qui semble un rêve."
(Guy de Maupassant)


Man In The Rain (Mike Oldfield, Tubular bells 1988)

You're the one who's nearly breaking my heart.
Had your chance, you just threw it all away.
Living in a world that you could never be a part of
And never time to walk away.

[ chorus ]You can't stay, no, you can't stay.
You're no loser, there's still time to ride that train
And you must be on your way tonight.
Think anew right through, you're a man in the rain.
What's the use in hanging round these walls.
Lamps are burning, but nobody's at home.There's a new day dawning as a cold rain fallsAnd now's the time to walk alone.

[ repeat chorus ]

How's it feel when there's time to remember?
Branches bare, like the trees in november.
Had it all, threw it all away.
Now's the time to walk away.

[ repeat chorus ]

How's it feel when there's time to remember?
Branches bare, like the trees in november.
How's it feel when there's time to remember?
Branches bare, like the trees in november.

[ repeat chorus ]

Threw it all away, threw it all away
And now's the time to walk away.

[ repeat chorus ]